pouet poète : les DRM c'est de la MRD
Rédigé par antistress le 15 mai 2014 - 9 commentairesLes DRM c'est de la MRD.
Mozi l'a t-il bien compris
qui, avec Adobe,
adoube les majors,
brisant une toile majeure,
dans l'intérêt d'un art mineur ?
Les DRM c'est de la MRD.
Mozi l'a t-il bien compris
qui, avec Adobe,
adoube les majors,
brisant une toile majeure,
dans l'intérêt d'un art mineur ?
Que l'on souhaite quitter le système d'exploitation dominant sur PC (Microsoft Windows) ou que l'on souhaite arrêter d'utiliser les services Web dominants (la pléthore de services de Google et les réseaux Facebook et Twitter), il faut bien avoir en tête qu'une migration, ça se prépare.
Il faut se fixer un cap, évaluer la situation existante, réfléchir au moyens à mettre à œuvre et ne pas se presser.
Dans mon cas, s'il n'a pas été très difficile ni long de changer de système d'exploitation (de Windows XP à Ubuntu 5.10 à l’époque), le travail de détachement de Google (courriel, recherche – dans les deux cas j'attends beaucoup de StartPage) s'avère très (bien trop) long. Du coup je suis bien content d'avoir limité mon exposition aux autres services (comme toute dépendance, l'idéal est de ne pas commencer pour éviter les soucis d'avoir à arrêter).
Pour faciliter la transition il convient de noter les astuces rencontrées ici ou là et qui vous faciliteront la vie plus tard.
Lire la suite de S'abonner à un groupe Google sans adresse Google
La guerre des navigateurs a connu trois périodes.
Comme vous le savez, Microsoft avait décidé de se reposer sur ses lauriers après avoir remporté la première bataille des navigateurs contre Nestcape. Microsoft avait, en effet, abusivement utilisé sa position dominante sur le marché des systèmes d'exploitation pour l'étendre sur le marché des navigateurs en intégrant Internet Explorer à Windows. Ayant étouffé toute concurrence, Microsoft décida de dissoudre l'équipe de développement d'Internet Explorer après le lancement de la version 6 en 2001, de sorte qu'Internet Explorer ne connut aucune mise à jour pendant cinq ans. Jusqu'à ce que la venue d'un petit nouveau, Firefox, développé par une association à but non lucratif (Mozilla), commence à inquiéter le géant de Redmond.
Le succès de Firefox a permis de redynamiser le marché des navigateurs en réintroduisant une saine concurrence, et ainsi de relancer le Web. Les parts de marché gagnées par le navigateur de Mozilla obligèrent les développeurs Web à arrêter de développer exclusivement pour Internet Explorer 6 et à respecter les standards du Web tels que définis par le W3C et promus par Firefox. Ce qui permit l'émergence d'une nouvelle concurrence à côté de Firefox (Safari, Chrome...) et certainement de conforter Opera. Ce fut la deuxième bataille et, contrairement à la première, le Web sortit grandi de celle-ci : un consensus se forma entre les acteurs pour développer des standards communs tandis que la concurrence profitait à l’utilisateur.
La sortie de Google Chrome, il y a trois ans, allait cependant déclencher la troisième bataille et rebattre les cartes.
Le terrain choisi par Google pour mener celle-ci allait être la rapidité : Google établissait alors un record de performance avec son moteur JavaScript, sobrement intitulé V8.
0,01% de l'électricité mondiale est siphonnée par les serveurs de Google.
Arrêtons-nous un instant pour digérer ce chiffre ahurissant : une entreprise consomme à elle seule, pour les besoins de son activité, un dix-millièmes de l'électricité mondiale (d'après cette récente étude portant sur l'évolution de l'électricité consommée par les centres de traitement des données).
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Avec l'annonce par Google de Chrome, un navigateur maison libre [1], il peut être tentant de mettre ce navigateur dans le même panier qu'un autre navigateur, libre lui aussi : Mozilla Firefox.
Lire la suite de Quelle est la différence entre un navigateur libre ?